Société Lauréate des Grands Prix du Business et de la Gouvernance Responsables 2020
Tout d’abord, je souhaite remercier l’Institut du Capitalisme Responsable et les membres du Jury pour nous avoir décerné le Grand Prix du Business et de la Gouvernance Responsables 2020.
La grande bascule que nous vivons, accélérée par la crise sanitaire, implique qu’aujourd’hui nos engagements en matière de RSE ne font plus seulement l’objet d’une équipe isolée, mais qu’ils sont devenus l’affaire de tous : une ambition et une stratégie partagées et portées par l’ensemble des collaborateurs du groupe Atos.
En interne, nous nous sommes fixés comme objectif d’atteindre « zéro émission nette » d’ici 2035 sur l’intégralité des « scopes » 1, 2 et 3. Par ailleurs, Atos s’engage dans la décarbonation de ses clients et renforce ses offres en ce sens pour les aider à contribuer à une croissance durable, tout en les accompagnant dans leurs défis métiers. Le fait de pouvoir développer un business de décarbonation est le meilleur engagement de durabilité que l’on puisse prendre.
Pour répondre à la demande croissante, les équipes de R&D et l’ensemble de notre écosystème de partenaires, start ups, fournisseurs se sont mis à travailler d’arrache-pied sur ces sujets.
Le portefeuille d’Atos Décarbonation s’est considérablement renforcé pour développer l’économie neutre en carbone avec les technologies numériques et est aujourd’hui un ensemble complet de produits et services informatiques qui permet aux clients de développer une approche à 360 degrés à toutes les étapes de leur feuille de route et de leurs objectifs de décarbonation.
Dans le cadre de nos missions, un premier volet consiste à faire des évaluations de décarbonation, c’est-à-dire de passer en revue l’ensemble des activités de nos clients pour établir des recommandations très précises.
Un second volet consiste à décarboner l’IT de nos clients, c’est-à-dire tout d’abord de mettre à jour leur hardware. Le software et les bases de données consomment une importante quantité d’énergie. Nous travaillons donc à la réduction de celle-ci à travers des processus de simplification. Enfin, Atos travaille sur les architectures pour en réduire drastiquement la complexité qui est souvent, dans les grands groupes, le fruit des années et des acquisitions successives.
Notre mission consiste également à décarboner le « non IT ». Nous passons donc en revue les business process de nos clients avec pour objectif de les digitaliser, de les automatiser et de les optimiser afin d’en réduire les émissions CO2.
C’est un domaine qui est infini, pour peu qu’on prenne le temps de s’en occuper sincèrement.
Je remercie une nouvelle fois l’Institut du Capitalisme Responsable pour ce Grand Prix qui récompense nos ambitions en matière de décarbonation, de RSE et de business et de gouvernance responsables.
Les Rencontres du Capitalisme Responsable, au cours desquelles s’est tenue la 4ème édition des Grands Prix du Business et de la Gouvernance Responsables, organisées sous l’égide du Ministère de l’Economie, des Finances et de la Relance, ont décerné le Grand Prix au Groupe Atos et le Prix Spécial Investisseurs à Phitrust pour leurs pratiques les plus remarquables en matière de gouvernance et de business, le mardi 6 octobre au Cercle de l’Union Interalliée.
Caroline de La Marnierre, Fondatrice de l’Institut du Capitalisme Responsable, a tenu à souligner que : « Les crises inédites que nous traversons ne sont pas des accidents, elles nous obligent à opérer des basculements qui nous transforment. Elles redessinent les contours de notre modèle de capitalisme en révélant – de façon crue – les forces et les faiblesses de nos organisations. Chacun apparait ainsi dans la vérité et le courage de ses engagements, sans recours possible au maquillage du green et du social washing. Les parties prenantes ne s’y tromperont pas. L’enjeu est de maintenir la confiance.
Nos Grands Prix 2020 ont puisé à cette source et le Jury a fait preuve d’une très grande vigilance pour distinguer, c’est-à-dire reconnaitre et valoriser, les « vrais » engagés dans ce nouveau modèle de capitalisme. »
Nicolas Mottis, Président du Jury des Grands Prix du Business et de la Gouvernance Responsables et professeur à l’Ecole polytechnique précise que : « La crise actuelle a rappelé qu’un business responsable supposait d’intégrer – bien sûr – les dimensions gouvernance, bien connue des financiers depuis longtemps, et environnement, en forte progression dans les agendas de nombreuses organisations, et aussi la dimension sociale, pourtant souvent négligée ou prise surtout comme une contrainte.
C’est cette capacité à intégrer simultanément ces trois dimensions ESG qui distingue les entreprises récompensées par les Grands Prix. Cette année encore, le Jury a eu l’occasion d’étudier des dossiers exemplaires en ce sens, qui prouvent que les choses bougent. La route sera certainement passionnante et peut-être longue, mais ces Prix la balisent de façon stimulante. »
Enfin, Olivia Grégoire, Secrétaire d’Etat auprès du Ministre de l’Economie, des Finances et de la Relance, chargée de l’économie sociale, solidaire et responsable, ajoute que : « La responsabilisation du capitalisme est une priorité depuis la crise financière de 2007 et face à la montée de l’urgence climatique. Elle n’est pas qu’une demande des États ou des citoyens, elle est aussi le fait d’une prise de conscience par les entreprises elles-mêmes que la rentabilité à long-terme passe par une activité qui prend en compte la soutenabilité et la durabilité. A nous de leur donner des outils pour accomplir cette transition. »
Mardi 6 octobre 2020
« Mesdames, Messieurs, chers amis,
Des impératifs d’agenda me privent malheureusement d’assister à ces Rencontres du Capitalisme Responsable et j’en suis désolé.
Vous le savez, c’est un évènement auquel j’aurais été plus qu’heureux de participer, car le travail porté par votre Institut me tient particulièrement à cœur. Je salue chaleureusement toutes celles et ceux dont l’action engagée a été récompensée aujourd’hui.
Dans le long cheminement qui doit nous permettre de transformer le capitalisme et de le rendre plus vertueux, plus respectable, je crois que nous avons passé une étape importante, qui est celle de la prise de conscience. Grâce au travail de l’Institut du Capitalisme Responsable – que je souhaite saluer ici – nos idées progressent, les valeurs que nous souhaitons porter émergent plus clairement dans le débat public.
C’est une avancée considérable mais il nous faut regarder plus loin. Aujourd’hui, nous ne pouvons plus nous contenter de disserter sur la théorie, nous devons rentrer dans une phase de mise en œuvre concrète, dans une dimension politique du capitalisme responsable. C’est d’ailleurs le sens du rapport de l’Institut Montaigne que nous avons coprésidé avec Yves Perrier, publié il y a quelques semaines : proposer un véritable modèle de capitalisme responsable européen, qui identifie les besoins réels des entreprises et les moyens concrets d’y répondre.
Ce rapport se fonde sur deux convictions : tout d’abord, le capitalisme responsable est un élément fondamental de la refondation de l’Union européenne. Il doit nous permettre de nous imposer dans le débat mondial, aujourd’hui fragmenté entre les deux grands blocs que sont les Etats-Unis et la Chine.
Ensuite, pour nous guider dans la tempête que nous avons traversé ces derniers mois, dans cette crise sanitaire puis économique sans précédent, nous nous sommes appuyés sur plusieurs forces : sur notre système de santé, puis sur l’Etat, qui a tenté de limiter l’impact de la crise sur l’économie et les entreprises.
Désormais, c’est au tour des entreprises de reprendre les rênes et de permettre à nos économies de relever la tête.
Pour y arriver, nous avons dégagé plusieurs axes d’action essentiels dans notre rapport.
Pour vous le résumer, il s’agit de diriger l’épargne des européens vers des investissements à long terme, responsables. Cette épargne existe ; pour la mobiliser il nous faut créer un véritable marché des capitaux européens.
Cela ne peut fonctionner qu’à certaines conditions : améliorer l’harmonisation fiscale, repenser des normes prudentielles mieux adaptées aux besoins en fonds propres des entreprises.
Nous constatons également qu’aujourd’hui, l’Europe est soumise à des règles d’informations financières et extra-financières imposées par un modèle anglo-saxon, qu’elle ne maîtrise pas. En matière de reporting, l’Europe doit identifier les critères qui constituent le socle commun des valeurs européennes et reprendre la main sur ces règles d’information.
Pour l’information extra-financière en particulier, nous manquons réellement d’harmonisation à l’échelle européenne, d’une méthodologie qui permette d’instaurer une confiance durable auprès des investisseurs.
J’ai la conviction que la solution, en tous points, est de traiter le problème grâce à une approche par les valeurs et non pas seulement par celle des risques. Il nous faut sortir de l’analyse anglo-saxonne par les risques, et valoriser la capacité des entreprises à relever les défis d’avenir colossaux qui les attendent, mieux prendre en compte leur impact social et environnemental.
Cela passe bien entendu par l’adoption d’une raison d’être, qui doit être la colonne vertébrale de chaque entreprise, et par une homogénéisation des règles de gouvernance au sein des entreprises européennes.
Aujourd’hui, nous sommes à un moment charnière de notre histoire. Nos entreprises sont mûres pour réaliser cette transformation, les dirigeants politiques européens doivent se saisir du sujet et construire le cadre qui nous permette d’instaurer durablement un capitalisme réellement responsable.
Merci à toutes et à tous, je n’ai aucun doute que ces Rencontres organisées par l’Institut du Capitalisme Responsable seront riches et fructueuses et espère pouvoir échanger prochainement avec vous de vive voix sur ces sujets. »
par Jean-Dominique Senard, Co-auteur du rapport « Le capitalisme responsable : une chance pour l’Europe », Président du Conseil d’Administration de Renault et vice-Président de l’Institut Montaigne
Les Grands Prix du Business et de la Gouvernance Responsables – Prix européens et internationaux de la pensée intégrée – ont récompensé quatre entreprises le 8 novembre 2019 au MEDEF, à Paris, en présence de plus de 200 personnes. Créés en 2017 et pilotés par l’Institut du Capitalisme Responsable (ICR), les Grands Prix du Business et de la Gouvernance Responsables visent à diffuser et récompenser les meilleures pratiques des entreprises en matière d’Integrated Thinking. Pour ce faire, le Jury des Grands Prix se fonde sur l’analyse des dossiers de candidatures reçus, portant sur le rapport intégré et un questionnaire prospectif mais également sur des Oraux en présence des dirigeants des entreprises candidates.
Remerciements
Toute l’équipe de l’Institut du Capitalisme Responsable (ICR) remercie tout d’abord ses partenaires stratégiques – le MEDEF, l’IFACI et l’École polytechnique – qui ont été très impliqués dans l’organisation de cette nouvelle Édition des Grands Prix du Business et de la Gouvernance Responsables. L’ICR tient également à remercier l’ensemble des membres du Jury pour leur engagement et leur assiduité tout au long des réunions de travail organisées cette année, qui furent riches en échanges et en confrontations. L’ICR souhaite également remercier Nicolas Mottis, professeur de l’École polytechnique et Président du Jury des Grands Prix pour sa participation à l’organisation de cette 3èmeédition. Enfin, l’Institut remercie les intervenants à la 3ème Cérémonie : Bruno Le Maire, Ministre de l’Economie et des Finances, Christopher Guérin, Directeur Général de Nexans et Lauréat 2018, Karim Hajjar, Directeur Financier de Solvay et Lauréat 2018, Jérôme Bédier, Membre du Bureau de la Commission Nouvelles Responsabilités Entrepreneuriales du MEDEF, Benoit Halgand et Margot Besseiche, étudiants signataires du Manifeste pour un réveil écologique, Chantal Monvois, Directrice des partenariats et Déléguée Générale de la Fondation AgroParistech, Pascaline de Dreuzy, Administratrice du Groupe TF1 et CEO de l’Institut Autonomie et Technologies, Sophie Javary, Vice-Chairman CIB EMEA chez BNP Paribas, Michel Laviale, membre de la Commission Transition Ecologique et de la Commission Nouvelles Responsabilités Entrepreneuriales du MEDEF, Floriane Egraz, Présidente 2018-2019 de Dauphine Junior Conseil, Christophe Galfard, Ecrivain et physicien, Arnaud de Bresson, Délégué Général de Paris EUROPLACE, Jean-Marie Pivard, Président de l’Institut Français de l’Audit et du Contrôle Internes (IFACI), Myriam Maestroni Présidente d’EST et DGE d’Economie d’Energie, et Théophile de Bonnaventure, Président 2018- 2019 de X-Projets.
La 3ème édition des Grand Prix du Business et de la Gouvernance Responsables – Integrated Thinking Awards – a récompensé 4 entreprises Lauréates ce vendredi 8 novembre à l’auditorium du MEDEF.
« Le dogme de la maximisation du profit pour l’actionnaire, énoncé par Milton Friedman dans les années 1970, laisse progressivement place à une vision plus large et inclusive du rôle de l’entreprise. Sa « raison d’être », telle que formulée en France dans la loi PACTE, a désormais traversé l’Atlantique. En août 2019, pour la première fois, plus de 180 grands patrons américains se sont engagés à mettre sur le même plan leur mission sociale et les intérêts de leurs actionnaires.
Cette conciliation entre les enjeux de business des entreprises et leurs impératifs environnementaux, sociaux et sociétaux, apparait cependant encore extrêmement complexe dans un monde globalisé. Nos Grands Prix ont dès lors pour vocation de récompenser, d’encourager et de valoriser les meilleures pratiques internationales en matière de business et de gouvernance responsables, afin de favoriser et d’accélérer cette dynamique vertueuse amorcée au niveau mondial. »
Caroline de La Marnierre, Directrice Générale et Fondatrice de l’ICR, Institut à l’initiative des Grands Prix
« Le concept de « pensée intégrée » fait indéniablement son chemin à la fois en France et au niveau international. L’étude des candidatures de cette année a en effet montré des réflexions très riches dans de nombreuses entreprises, avec une vraie articulation entre objectifs de performances financières, environnementales, sociales et de gouvernance.
Point relativement nouveau, des fonctions centrales de l’entreprise – stratégie et finance notamment – semblent vraiment s’en saisir et les Lauréats illustrent bien à quel point cela est fructueux. Chez les meilleurs, d’une part, il y a de plus en plus une réflexion RSE en lien avec le business model de l’entreprise et, d’autre part, une réflexion stratégique et financière qui prend en compte toutes les dimensions de l’entreprise. C’est bien l’intérêt de ces Grand Prix que de démontrer à quel point et de façon concrète une pensée intégrée peut constituer une source majeure de renouvellement des business models. »
Nicolas Mottis, Président du Jury et Professeur à l’École Polytechnique
Les Lauréats 2019
Les Integrated Thinking Awards (ITA) – Prix européens de la pensée intégrée – ont récompensé 3 entreprises lauréates ce 17 octobre au MEDEF. Retrouvez ici les entreprises distinguées et nommées, les meilleures pratiques saluées par le Jury, les paroles de grands patrons, une étude sur le rapport intégré et des témoignages d’investisseurs et de parties prenantes.
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Les Integrated Thinking Awards (ITA) – Prix européens de la pensée intégrée – ont récompensé 3 entreprises lauréates ce 17 octobre au MEDEF. Retrouvez ici les entreprises distinguées et nommées, les meilleures pratiques saluées par le Jury, les paroles de grands patrons, une étude sur le rapport intégré et des témoignages d’investisseurs et de parties prenantes.
Sirènes d’alarme sur le climat et les ressources, croissance des inégalités, montée du communautarisme… La multiplication des enjeux sociétaux et environnementaux défie sans limite gouvernements et capitalisme. La société n’a plus le choix : elle doit dorénavant concevoir l’Entreprise comme « un tout », au-delà de sa dimension financière. En témoignent notamment le projet de loi PACTE, les évolutions réglementaires européennes (Directive européenne sur le reporting extra-financier des entreprises), l’appropriation des Objectifs de Développement Durable de l’ONU, etc.
La prise en compte de ces injonctions exige une agilité accrue de l’entreprise, qui doit se réinventer en permanence pour concilier les exigences économiques, financières et extra-financières, en interaction avec l’ensemble des acteurs de son écosystème. La pensée intégrée invite à repenser l’entreprise – jusqu’au sens qu’elle donne à son action – pour l’inscrire en cohérence avec son écosystème et sa trajectoire stratégique. Le partage des meilleures pratiques devient crucial pour inspirer, convaincre et embarquer les entreprises – de toutes tailles – dans cette dynamique vertueuse, pour leurs investisseurs, leurs parties prenantes et leur écosystème.
Cette démarche, durable et inclusive, aiguise les consciences et convainc de plus en plus !
Avec les interventions de Geoffroy Roux de Bézieux, Président du MEDEF et de Stanislas Guérini, député et porte-parole de La République En Marche, l’Institut du Capitalisme Responsable (ICR) – en partenariat avec le MEDEF, l’Institut Français de l’Audit et du Contrôle Internes (IFACI) et Capitalcom – a créé cet événement de Place pour faire avancer le marché et partager les meilleures pratiques :
Les 3 entreprises Lauréates
Le 10 octobre 2017 au MEDEF, l’Institut du Capitalisme Responsable – centre de recherche appliquée à l’entreprise, indépendant et non-générateur de profit – remet les 1ers Integrated Thinking Awards (ITA).
Cette nouvelle étape dans la dynamique mondiale du capitalisme responsable met en valeur les meilleures pratiques observées au sein des entreprises européennes. En s’engageant dans une démarche d’intégration et d’interdépendance de toutes ses dimensions, l’entreprise renforce sa capacité à créer de la valeur sur le moyen-long terme, en adaptant au mieux sa stratégie aux particularismes de son écosystème. Et, ainsi, à transformer son business model et à rendre compte plus clairement des facteurs clefs de son succès.
Les Integrated Thinking Awards ont été remis au cours de la 5è Conférence annuelle sur l’Integrated Thinking, ouverte par Pierre Gattaz, Président du MEDEF. Bruno Le Maire, Ministre de l’Économie et des Finances, a conclu la matinée et rappelé dans son allocution vidéo : « Notre objectif à tous, c’est que les français deviennent le cœur des entrepreneurs. Que tous comprennent que c’est dans l’Entreprise que se crée la richesse de la nation, pas simplement la richesse économique, mais aussi la richesse sociale, la richesse environnementale, et tout ce qui fera de la France une nation plus forte. »
13 entreprises nominées
Le Jury, composé de 21 experts (investisseurs, institutions de Place, associations professionnelles, universitaires) a analysé les candidatures d’une trentaine d’entreprises européennes reçues.
Il a sélectionné 13 entreprises qui se sont particulièrement distinguées pour leurs bonnes pratiques. Trois d’entre elles ont été récompensées. Au cours de cette Cérémonie, chacune était accompagnée de l’une de ses parties prenantes clefs, partageant à deux voix leurs objectifs, les difficultés surmontées, les bénéfices et la valeur créée par leur relation.
3 entreprises Lauréates
Prix du Rapport Intégré
Le Jury a décerné le Prix du Rapport Intégré à Despar, en soulignant son excellente connectivité, qui met en lumière le lien entre les différentes informations financières et extra-financières, permettant d’illustrer la valeur créée par le Groupe au regard de sa stratégie.
Despar a choisi de recevoir ce prix avec Stéfano Zambon, professeur d’économie à l’Université de Ferrara et Président de WICI (World Intellectual Capital Initiative).
Prix de l’Integrated Thinking – catégorie PME/ETI (moins de 500 employés)
Le Jury a décerné le Prix de l’Integrated Thinking – catégorie PME/ETI – à Gecina, pour sa mise en exergue de l’intégration de la RSE dans sa mission et ses axes stratégiques. En outre, l’identification de nombreux indicateurs intégrés, dans une approche visant à illustrer le partage de la valeur créée, a été considérée comme un facteur différenciant et positif par le Jury.
Gecina a choisi de recevoir ce Prix avec la direction immobilière d’ENGIE, partenaire de sa stratégie de renforcement de son ancrage territorial.
Prix de l’Integrated Thinking – catégorie grandes entreprises (plus de 500 employés)
Le Jury a décerné le Prix de l’Integrated Thinking – catégorie grandes entreprises – à Schneider Electric. Ont été particulièrement appréciées : l’évolution de son modèle économique vers la transition énergique, la très grande attention portée au dialogue avec les parties prenantes et la prise en compte de leurs attentes dans cette stratégie.
Schneider Electric a choisi de recevoir ce Prix avec son partenaire, Sunna Design, start-up proposant des solutions innovantes d’éclairage public solaire.